Top 5 des raisons d’espérer la fin de l’épidémie pour 2022
Publié
par
Chrystelle Thevenot
le 17/01/2022 à 06:01
Voici 5 raisons de croire que 2022 marquera la fin de l’épidémie de Covid-19.
Omicron : plus contagieux, mais moins dangereux
L’arrivée du variant Omicron et sa forte contagiosité inquiètent beaucoup. Il est cependant 2 à 3 fois moins virulent que le variant Delta. Le risque d’hospitalisation après l’avoir contracté est en effet moins important et la durée de cette dernière est également diminuée. Malgré sa grande contagiosité, qui provoque un nombre de cas record en Europe, le nombre de cas graves reste pour l’instant assez limité.
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La vaccination continue
En 2022, le nombre de personnes vaccinées ou ayant reçu une dose de rappel ne cesse d’augmenter. C’est un bon espoir pour croire à la fin imminente de l’épidémie.
Un nouveau traitement attendu
C’est un des grands espoirs de l’industrie pharmaceutique pour l’année 2022. Si 2021 aura été l’année du vaccin, 2022 sera peut-être celle de la pillule Paxlovid. Encore une fois développée par les laboratoires du géant Pfizer, ce traitement contre le Covid-19, à prendre dans les trois jours après l’apparition des symptômes pendant cinq jours, permettrait de réduire de 90 % les formes sévères du Covid pour les personnes à risque.
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L’immunité collective progresse
Avec le fort taux de contagion lié au variant Omicron, celui-ci pourra permettre d’atteindre l’immunité collective. Le variant est extrêmement transmissible et touche beaucoup de monde, particulièrement les non-vaccinés.
L’épidémie tend vers des formes moins graves
Selon plusieurs pronostics scientifiques, en 2022, le Covid devrait devenir moins grave. Le coronavirus ne disparaitra pas mais sa circulation et sa gravité diminueront…avec le temps.
Vivre avec le virus pendant 4 à 5 ans ?
Si l’optimisme est de mise en ce début d’année 2022, certains appellent à la plus grande prudence.
“Nous sommes à un moment charnière où il va falloir prendre conscience que ce virus ne sortira pas de nos vies avant 4 à 5 ans. Il faut se faire à l’idée que nous allons devoir cohabiter avec lui. La seule inconnue est que nous ne savons pas à quelle virulence“, Gwenaël Le Moal, infectiologue au CHU de Poitiers.
Pour lui, si ce n’est pas insurmontable, il faudra changer quelques unes de nos habitudes sur le long terme. “Il va falloir apprendre à vivre autrement ces prochaines années, en continuant à se laver les mains, tousser dans son coude et à ne pas faire la bise à tout le monde. Il ne faut pas que ça nous empêche de vivre, mais il faut vivre avec“, conclut-il.
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