C’est une bonne nouvelle. Selon le Statec, la prochaine indexation des salaires tomberait au 2e trimestre. La prochaine tranche indiciaire pourrait être de nouveau déclenchée à la fin de cette année, même si, dans un scénario central, le Statec la voit plutôt tomber au 1er trimestre 2023. Pour rappel, “le pays a déjà connu deux indexations la même année: le 1er janvier et le 1er novembre 1991“.

Avec 4,4% l’institut des statistiques s’attend à une inflation plus élevée que ce qu’il avait envisagé en novembre (2,5%). La raison est simple : le prix du pétrole qui poursuit sa hausse et les “tensions sur le gaz et l’électricité qui perdurent“.

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«Le contexte pandémique continue de perturber les chaînes de production mondiales et donc de limiter l’offre de biens et de services, tandis que la reprise de la demande est prononcée » précise-t-on dans le communiqué « les pressions haussières sur les prix se sont accumulées le long de la chaîne de production et sont aujourd’hui répercutées de manière sensible sur le consommateur final ».

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Le prix du gaz a augmenté de 80,4% en un an en janvier. Le Statec prévoit ainsi qu’à la suite de cet essoufflement au niveau de l’énergie, le taux d’inflation diminue en 2023 pour atteindre 1,3%. Le montant de la facture de mazout augmente de 11,8%, le prix du gaz de ville de 22,9%. Dans les stations-essence, il faut débourser 4,9% de plus pour un litre de diesel et 4,7% pour l’essence.

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