On ne peut pas, dans un état de droit, et quand on prétend "rendre la justice" se poser à la fois comme juge et partie ; et donc logiquement, quand un "basheur" prétend que son bashing est justifié et pas celui du camp adverse (quitte à parler de "mensonge effronté" quand on est à bout d'argument et coincé dans les cordes, ou d'information "vérifiées" quand on balance des chiffres sans en citer la source ou qu'on puise ses infos sur des sites néofascistes ou intégristes...), il est permis de douter du caractère "fiable" des intentions de celui qui s'érige en juge. Tu es partisan? Assume au moins de ne détenir qu'une partie de la vérité, la tienne, pas meilleure ni plus fiable ou crédible qu'une autre.
Parlons français : Le bashing est une façon d'insulter, au sens strict et étymologique de la langue française (ça ne sera jamais que la troisième fois que je le copie ici : insulter vient du latin "insultare"=>sauter sur/jeter au sol, et le bashing contient au moins cette notion connexe de volonté d'humilier, de rabaisser).
Quant au dévoiement de certaines expressions, la rhétorique politique repose sur cela et sur rien d'autre. La gauche a son champ sémantique, la droite et ses candidats "humbles et responsables" ont le leur, avec comme maître mot "Liberté", ayant un peu trop souvent oublié que la liberté des uns s'arête là où commence celle des autres. "Liberté ne veut rien dire. Seule Libération fait sens" André Malraux, gaulliste-trotskiste mondialement réputé.
Sinon, mataf, je t'explique la Bible et la Torah quand tu veux.
Bisous! 😉