Ça va bloquer, le 21 mars prochain, du côté d’Audun-le-Tiche (juste à la frontière avec Esch). En effet, le Comité de défense et d’initiative des frontaliers du Luxembourg a décidé de cette date pour organiser un blocus de la route vers le Grand-Duché. En cause : les doutes persistants encore sur l’application cette année de la convention fiscale signée par la France et le Luxembourg.

Depuis 2018 et la validation de cet accord, la règle fixée qui voudrait que les frontaliers français soient “doublement” imposés sur leur revenu ne s’est jamais appliqué… De dérogation en dérogation, jamais la mesure envisagée ne s’est appliquée. Sauf que, cette année, l’instabilité gouvernementale fait que le ministère des Finances français n’a toujours pas dit s’il entendait encore dispenser les quelque 125.000 frontaliers bleu-blanc-rouge.

Le mouvement de colère veut aussi interpeller les élus luxembourgeois sur la nécessité d’annuler cette Convention.

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Ils sont là, ils vous surveillent… Eh oui, samedi ou pas, ce 22 février, les agents de la Police luxembourgeoise ont encore programmé des contrôles de vitesse. Voici les 4 sites retenus en priorité :

• À Clervaux, en matinée, route de Marnach
• À Niederkorn, le matin, rue Pierre Gansen
• À Grevenmacher, en soirée ou de nuit, sur la N10 (Bistro Quai)
• À Luxembourg, en soirée ou de nuit, boulevard de Kockelscheuer

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En début de mois, plusieurs oiseaux ont été retrouvés morts à Cessange. Et un examen toxicologique pratiqué au Laboratoire vétérinaire et alimentaire du Luxembourg a permis de constater que ces corbeaux freux, étourneaux sansonnets, corneilles noires et tourterelles avaient tous été victimes d’un… anti-rats !

L’examen a mis en évidence que le produit utilisé avait certainement été utilisé soit malencontreusement, soit à mauvais escient. Mais il reste que le principe actif fortement dosé peut avoir des conséquences sur la santé animale, y compris pour les animaux de compagnie qui viendraient à l’ingérer.

Aussi, les autorités demandent à quiconque apercevrait des animaux sauvages morts dans le parc de Cessange et environs, de le signaler aux gardes forestiers compétents (tél. 621 202 196 ou 621 202 110). Si vous observez des animaux sauvages « semblant malades ou se comportant de manière inhabituelle », il convient alors d’alerter le Centre de soins de Dudelange (tél. 26 51 39 90).

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