Votre plein ici se joue bien loin… Parfois dans les pays du Golfe, parfois en Amérique et actuellement un peu du côté des bureaux de Donald Trump et Vladimir Poutine. Eh oui, si les prix du pétrole brut restent stables actuellement c’est essentiellement dans l’attente d’éclaircissements sur les pourparlers de guerre entre la Russie et l’Ukraine.

Cela peut paraitre paradoxale alors que l’Europe a pris des sanctions à l’égard de Moscou, interdisant à la Russie d’exporter des carburants vers les États membres. Une règle appliquée mais aussi… contournée. Ainsi, une partie de l’or noir russe parvient tout de même dans l’UE après avoir d’abord été expédié vers des pays comme l’Inde ou la Chine, raffiné et revendu à des groupes agissant sur le marché européen. Joli tour de passe-passe qui donc influe aussi sur les tarifs à la pompe “chez nous”.

Et actuellement, selon les jours, le Luxembourg augmente/baisse ses prix en stations quand France, Belgique ou Allemagne baisse/augmente à leur tour les tarifs de l’essence ou du diesel. Le tout sans cohérence sur l’ensemble de la Grande Région.

 

 

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