Pas sûr que cela dure… Mais ces derniers jours, au Grand-Duché et dans les trois pays voisins, les consommateurs ont eu le plaisir de constater que le prix du diesel ou de l’essence baissait. Cependant, au vu de la remontée subite des tensions dans le conflit russo-ukrainien, rien ne dit que les marchés du pétrole vont rester calmes.

En effet, dès le début de la guerre, les Européens ont réduit puis stoppé leurs importations de pétrole russe. Se tournant plus vers des partenaires africains, du Moyen Orient ou… les États-Unis. Et au vu des nouvelles positions (militaires ou commerciales) de Donald Trump, rien ne dit que cet approvisionnement ne va pas connaître des soubresauts. Un regain d’instabilité qui ne devrait pas jouer en faveur des automobilistes, motards et routiers de la Grande région au final.

 

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