Infos en bref
Les sanctions tombent vite
Un motard “surpris” à près de 148 km/h, c’est encore une des prises de la Police luxembourgeoise ces derniers jours… Un excès de vitesse qui, compte-tenu des conditions météo particulières, aurait pu se finir tragiquement sans l’intervention des agents. Des forces de l’ordre qui, ce mardi 21 janvier, encore sortiront leur radar aux points suivants :
- À Esch-sur-Alzette, le matin, rue Henri Koch
- À Christnach, l’après-midi, Moellerdallerstrooss
- À Helperknapp, en après-midi, Obenthalt
- À Luxembourg, dans le courant de l’après-midi, rue Jules Fischer
Vraie ministre, faux usage
Faut pas croire ce que dit Tatjana Baskewitsch ! C’est le message que souhaite faire passer Martine Hansen, la minsitre luxembourgeoise de l’Agriculture (et de la protection des consommateurs), dont cette dame assure avoir eu le soutien pour une fondation.
Pour cet faire, l’intéressée aurait utilisé, sans autorisation, des photos du compte Facebook de la ministre CSV pour les détourner… Ayant eu connaissance du procédé, le contenu frauduleux a été signalé à Facebook, mais aussi à la plateforme luxembourgeoise Bee Secure et une dénonciation des faits a été adressée à la Justice.
En attendant le retrait des publications mettant en lien Martine Hansen et fondation Tatjana-Stiftung (qu’elle ne connaît, ni ne soutient), la ministre invite ses “followers” et les autres « à faire preuve de vigilance et à ne pas se laisser induire en erreur par cette communication trompeuse »…
40% de télétravail ok pour les frontaliers
Enfin, pour les frontaliers français exerçant leur activité en Suisse et cela jusqu’au 31 décembre 2025 ! Ainsi, Paris et Berne viennent-ils de prolonger l’accord fiscal encadrant la pratique du home office. Ainsi, sans changement sur l’impôt sur le revenu ces navetteurs tricolores peuvent travailler 2 jours/semaine depuis chez eux. Cela alors que pour leurs 125.000 homologues en poste au Luxembourg la limite reste toujours fixée à 34 jours.
Mais, a-t-on appris voilà peu, la France a soumis pareille proposition au gouvernement luxembourgeois qu’il en soit de même avec les frontaliers lorrains. On arriverait alors à 52 jours de “TT” envisageables si salarié et employeur en sont d’accord.
Pour l’heure, aucune avancée n’a été annoncée côté Grand-Duché, et aucun parlementaire français ne semble être monté aux créneaux pour défendre cette cause auprès du nouveau Gouvernement Bayrou.