Suite à une analyse réalisée par Greenpeace sur la vulnérabilité des 19 sites nucléaires français, l’organisation a désigné cinq centrales à fermer en priorité.

Il s’agit de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin), doyenne des centrales françaises promise à la fermeture d’ici fin 2016 par François Hollande, mais aussi du site du Blayais (Gironde), du Bugey (Ain), de Gravelines (Nord) et du Tricastin (Drôme). La centrale nucléaire de Cattenom ne fait pas partie de la liste.

Pour établir sa liste noire, Greenpeace a examiné “trois séries de critères”: le niveau de sûreté des centrales (âge, puissance, nature du combustible, etc.), les risques “d’agressions externes naturelles ou non naturelles” (inondation, séisme, risque industriel, incendie, etc.) et les conséquences d’un accident (proximité d’une frontière ou d’une grande métropole, activités proches, etc.).