Cette pause clope qui irrite les collègues🚬
Publié
par
Edouard Trèfle
le 31/01/2025 à 07:01
Les uns jugeront que c’est pour assouvir leur dépendance à la nicotine, d’autres pour rencontrer du monde, certains pour évacuer le stress quand une partie sortira avec son paquet de cigarettes pour un temps échapper à son cadre de travail (bruit, chaleur, ambiance) : bref, les fumeurs ne manquent pas de “bonnes” raisons pour sortir de l’atelier, du bureau, du hangar où ils travaillent pour une “pause clopes”.
Un départ sous le regard -discret- mais réprobateurs des non-fumeurs, à en croire l’étude menée par la plateforme luxembourgeoise d’offres d’emploi Moovijob. Ainsi, 64% des sondés verraient d’un mauvais œil leurs collègues filer au-dehors griller une cigarettes quand, elles ou eux, restent le plus souvent à leur poste. Y’a du conflit dans l’air…
Et les managers ou les n+1 feraient bien de se pencher sur ce dossier fumant. En effet, du reproche au conflit, il n’y a parfois que l’épaisseur… d’une feuille de papier de cigarettes. Car comment justifier aux yeux de l’employé qui se contente d’un passage à la machine à café par jour que ses voisins passent de 40 à 80 minutes par jour pour assouvir leur besoin de tabac ?
La tête et les jambes
Au final, cela représente tout de même l’équivalent de deux semaines de travail passées devant un cendrier plutôt que sa machine, son ordi ou face aux clients… 80 heures payées à fumer, merci patron ! Faudrait-il alors considérées en “heures supplémentaires” cette même période travaillée par celles ou ceux qui ne prendraient pas de pause ? Et donc rémunérer plus les non-fumeurs. Sûr que certains en rêvent.
Reste que si le tabac est nocif pour la santé🚭, le fait de s’autoriser un break dans sa journée de travail a des bienfaits reconnus. Que ce soit sur le plan physique que mental.
⤴️Booster de productivité
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