Le 10 septembre 2021, la première ”Marche blanche” rassemblait quelque 3.500 personnes dans les rues de Luxembourg. Même chose deux semaines plus tard pour ce qui avait fini par devenir LE rendez-vous des contestataires à la politique sanitaire mise en place dans le cadre de l’épidémie Covid.

Pêle-mêle, le rendez-vous avait réuni à plusieurs reprises anti-vax, anti-masques, partisans de tel traitement ou de telle levée des restrictions. Avec, on s’en souvient, de violents heurts en décembre dernier.

Depuis, l’épidémie s’est calmée et la ”Marche blanche et silencieuse” a trouvé de nouvelles cibles. Certes la « menace de la vaccination Covid obligatoire » reste avancée, mais désormais les organisateurs souhaitent aussi évoquer « la flambée des prix de l’énergie due à une politique de sanctions contraires aux intérêts des peuples européens ».

Le dernier rendez-vous de ces « anti » avait eu lieu le 30 septembre, et voilà qu’un nouveau cortège est invité à se former le vendredi 11 novembre, à partir du parvis de la Philharmonie au Kirchberg (dès 19h).

Au terme de la manifestation plusieurs prises de paroles sont prévues, place Clairefontaine. Le Dr Benoit Ochs (condamné en mars 2022 à un an d’interdiction d’exercer la médecine) fera partie des orateurs. Tout comme l’avocat luxembourgeois Radu Duta et Laurence Kayser.

Cette gynécologue belge dénonce, elle, des effets indésirables suite à l’injection des vaccins devant lutter contre le SARS-CoV2..

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